• Trop polluant : tous les réacteurs rejettent de la radioactivité et des produits chimiques et produisent des déchets radioactifs ingérables ;
• Trop consommateur d’eau qui est rejetée plus chaude et polluée ;
• Trop risqué : en Ukraine les centrales sont des cibles et butins de guerre. Tchernobyl et Fukushima ont démontré les conséquences d’une catastrophe ;
• Trop vulnérable : tempêtes, inondations et canicules contraignent l’arrêt de réacteurs ou, pire, provoquent des accidents gravissimes ;
• Trop lent : la diminution des gaz à effet de serre, c’est maintenant pas dans 20 ou 30 ans, temps de construction des EPR2 ;
• Trop coûteux : le MWh des EPR2 serait plus du double de celui des énergies renouvelables ! Le coût de construction, en particulier, est prohibitif.
Oui à la sobriété et l’efficacité énergétique ;
Oui à des énergies propres, renouvelables et décoloniales ; Oui à la paix !!!
Vendredi 11 octobre à Rouen
20h30 : Conférence-débat animée par Stéphane Lhomme : « Nucléaire : stop ou encore ? Faut-il construire des EPR à Penly ou ailleurs ? Quelles consommations et productions d’énergie au XXIe siècle ? »
10h30 : Village associatif antinucléaire avec stands des collectifs et associations antinucléaires, jeux, expositions et animations diverses, restauration à prix libre...
14h30 : Départ de la manifestation, avec fanfares, cortège multicolores et plein de surprises...
17h : concerts gratuits, buvette et danse jusqu’au bout de la nuit !
À Rouen
Interventions des groupes et associations
(première demi-heure des prises de paroles)
À Rouen - photo Bernard Elman
Dimanche 13 octobre à Penly
Les bâtons plantés en symbole de la résistance antinucléaire viennent marquer sur la plage notre détermination à lutter contre l’installation de nouveaux réacteurs, en Normandie et partout ailleurs, et contre tous les nouveaux projets atomiques (Giga poubelle souterraine à Bure, production de tritium pour la Bombe à Civaux, etc.). Un mur de la honte dénonce les multiples nuisances du nucléaire.
Pour préparer la manifestation nationale du 12-13 à Rouen et Penly, la Coordination régionale IdF avait organisé le 4 octobre une réunion publique à la Bourse du Travail de Paris. Le nombre des participants était modeste, mais la discussion intéressante. Ont été développés les thèmes suivants : l'impact du nucléaire sur l'eau, puis sur le climat, les risques que nous fait courir la prolongation de vie des vieilles centrales, indissociable du programme macronien de relance, et enfin et l'importance ignorée des 19 000 transports annuels de matières radioactives qui sillonnent le territoire.
Le Collectif contre l'ordre atomique a été invité à l'émission Vive la Sociale sur Fréquence Paris Plurielle (106.3), consacrée aux raisons de la lutte contre la relance décidée par Macron :