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POUR LES ENFANTS DE NOS ENFANTS
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En face du péril atomique, de ce péril qui ne ressemble à aucun autre, qui est incommensurable à tout autre, de ce péril qui, par son amplitude, impose à l'espèce tout entière de nouvelles façons de penser et d'agir, en face de ce péril dont il est honorable autant que raisonnable d'avoir peur, il ne devrait plus y avoir ni pays, ni continent, ni monde libre ou pas libre, mais rien que des hommes, citoyens de la planète, tous mêlés, confondus, fraternises par une égale menace. »
Jean ROSTAND, cité dans D. Parker et R. Bonniot, Folie nucléaire, 1966
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Libérer l'ONU du nucléaire
une question de survie
Forum Social Mondial Antinucléaire / Paris / 3 nov. 2017
Comprendre le rôle de la techno-dictature nucléaire
dans le processus d’autodestruction de l’espèce humaine
et de destruction du vivant afin d’agir efficacement
contre son emprise politique internationale
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Depuis le 26 avril 1986, la situation sanitaire dans les territoires les plus touchés par la catastrophe de Tchernobyl ne cesse de continuer d'empirer. Les pathologies observées sur le terrain en Belarus par les medecins de l'Institut Belrad viennent totalement invalider les schémas officiels des organismes internationaux en charge de la radioprotection.
L'expertise de la protection radiologique est déléguée au niveau mondial à certains organismes de l'ONU, à qui sont assurés légitimité et audience. Parmi ceux-ci l’UNSCEAR (Comité scientifique des Nations unies pour l’étude des effets des rayonnements atomiques), qui décrète la « Vérité » des effets des radiations, et la CIPR (Commission Internationale de Protection contre les Radiations) qui diffuse cette « Vérité » à travers ses recommandations, source des législations nationales et internationales actuellement en vigueur.
Ces organismes de l'ONU ou affiliés orchestrent en dehors de tout contrôle démocratique le déni sur les effets sanitaires de la radioactivité - jusqu'à prendre en main le contrôle de la radioprotection et de l'information en cas de catastrophe, à travers les programmes Ethos et Core, à Tchernobyl puis Fukushima.
La Charte fondatrice de l'ONU débute par ces mots : « Nous, peuples des Nations unies, résolus à préserver les générations futures... ». Or il faut bien reconnaître que l'ONU déroge à ses principes pour ce qui est de la protection radiologique des peuples qu'elle est censée représenter. Les contaminations radiologiques étant transnationales, c'est bien des peuples du monde que doit venir le sursaut. Notre responsabilité est là : reprendre en main le système de radioprotection, ou sacrifier les générations futures.
Tchernobyl, le monde d'après
par Michel LABLANQUIE (avr. 2018)
avec les apports de Nicole ROELENS, Yves LENOIR et Paul LANNOYE |
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Mémorial pour la Paix à Hiroshima : statue offerte en 1959 par le sulpteur Hongô Shin, au Maire d'Hiroshima, M. Hamai, à l'occasion
du 5° congrès mondial pour l'abolition des armes nucléaires, inaugurée en 1960 grâce au soutien de l'association des femmes de Hiroshima
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