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SALON DE L'ATOMOBILE
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« Finalement, nous savons très bien que s’il existe une option pour sauver le climat, elle passe non pas par une fuite en avant dans des technologies "magiques" supposées nous permettre de continuer à vivre de façon irresponsable, mais par une importante réduction de la consommation d’énergie dans le monde, la suppression des gaspillages, la sobriété. »
Stéphane LHOMME (fév. 2021)
Le Climat est-il favorable au nucléaire ?
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La voiture électrique et le compteur Linky
deux béquilles absurdes et vaines pour une société techniciste aux abois… 
par Stéphane LHOMME (sept. 2020)
Nous savons que, dans les projets d'EDF et de sa filiale Enedis, il y a la possibilité de se servir des batteries d'un conséquent parc de voitures électriques - qui reste bien heureusement totalement virtuel à ce jour - pour y puiser de l'électricité, à certains moments, par le biais du compteur électrique communicant Linky.
Pourtant, il n'est pas besoin de voir cette ineptie mise en œuvre pour constater d'ores et déjà de fortes similitudes entre ces deux machines et leurs programmes industriels respectifs.
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Décryptage de l’engouement
pour la voiture électrique
par Pierre PÉGUIN et Ivo RENS (3 mars 2021)
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Depuis quelques années, de par le monde, la voiture électrique qualifiée de “voiture propre”, est présentée comme la solution aux problèmes de pollution et de climat par les politiques et les médias. Elle répondrait aux exigences d’une société écologique de progrès. S’il est vrai que les véhicules restent indispensables, particulièrement dans la vie rurale, il est nécessaire de pouvoir en disposer qui soient sobres en consommation, fabriqués et recyclés en faisant le moins de dégâts écologiques et sociaux possibles.
L’achat des voitures fonctionnant à l’électricité, bien que généreusement subventionné en France et dans d’autres pays, reste onéreux et s’adresse d’abord à un public aisé s’équipant d’une voiture secondaire pour la ville. Mais est-on sûr que leur bilan complet soit réellement écologique ?
Face aux mesures mises en œuvre en France comme ailleurs dans le monde, mais aussi face à l’effet de mode et à l’engouement du public, tentons de voir ce que peut signifier cette promotion volontariste pour l’évolution de la société.
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Non, la voiture électrique n'est pas écologique
une série de trois articles, par Celia IZOARD, Reporterre (sept. 2020)
Volet 1/3 : Qu’en est-il des émissions de gaz à effet de serre ?
Promue sans la moindre réserve par la classe dirigeante, l’auto électrique serait le véhicule « propre ». Or, comme le montre Reporterre dans une grande enquête, de la production des batteries à leur durée de vie, en passant par le renouvellement du parc, le poids des véhicules et leur usage, le caractère écolo de l’auto électrique n’a absolument rien d’évident.
Volet 2/3 : La voiture électrique et l'énorme pollution minière
Grosse émettrice de gaz à effet de serre, la construction des voitures électriques consomme aussi une très grande quantité de métaux. Lithium, aluminium, cuivre, cobalt… le boom annoncé de la production de « véhicules propres » réjouit le secteur minier, l’un des plus pollueurs au monde, et promet un enfer aux populations des régions riches de ces matières premières.
Volet 3/3 : Derrière la voiture électrique, l’empire des Gafam
Pour vanter son supposé caractère écolo, les promoteurs de la voiture électrique s’appuient sur des performances inexistantes. Surtout, ils la placent au cœur d’un système de mobilité centré sur la voiture autonome, donc l’intelligence artificielle.
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La Gueule ouverte n° 6 (avril 1973 |
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Vive la bagnole, hips, autonome !
par Jean-Luc PORCHET, Le Canard Enchaîné (17 oct. 2018)
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Avec seulement 1,2 % du parc automobile, la voiture électrique ne séduit guère le populo. Alors qu’elle est é-co-lo-gique ! Elle ne dégage pas un gramme de CO2 ! Aucune particule fine ! Certes, les grincheux vous diront qu’avant même d’avoir parcouru son premier kilomètre une voiture électrique a déjà dégagé une montagne de CO2, vu que la fabrication de sa batterie (qui pèse dans les 600 kilos) nécessite en moyenne 400 kilos de nickel, mais aussi 15 kilos de cobalt, 5 kilos de lithium et quantité d’autres métaux rares dont l’extraction, le raffinage, la transformation et l’acheminement sont affreusement voraces en eau et en énergie.
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Le réseau pourra-t-il tenir
la consommation des véhicules électriques ?
par Aline DUPONT, Selectra (oct. 2020)
Selon nos estimations, la consommation des véhicules électriques en 2040 serait située entre la consommation électrique d’une région comme la Normandie et PACA
L’avenir de la voiture semble promis à l’électrique, en grande partie du moins au vu de l’évolution actuelle du marché. Les récentes annonces des grands constructeurs mondiaux abondent dans ce sens.
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Le Canard Enchaîné - oct. 2020 - Cliquez sur l'image pour lire l'article ! |
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