DERNIÈRES NOUVELLES

EPR : FUITES EN AVANT

CLIMAT ET NUCLÉAIRE
PACIFIQUE ATOMIQUE
8° JOURNÉES D'ÉTUDES
ATOMES CROCHUS
PÉTITIONS
ÉTAT DES LIEUX
TRAVAILLEURS
CIT-GIT CIGÉO
TCHERNOBYL 35 ANS
FUKUSHIMA 10 ANS
NOTRE AMI L'ATOME
CIVIL ET MILITAIRE
L'APPEL DU TIAN
C'EST DE LA BOMBE
NOS AMIS LES EXPERTS
ONU ET NUCLÉAIRE
SALON DE L'ATOMOBILE
JOURNÉES D'ÉTUDES 2020
2019/2018/2017
2016/2012/2011

COLLECTIF ADN

 

___________________________________________________________________

MESSAGE DE SOUTIEN
DU COLLECTIF ARRÊT DU NUCLEAIRE
AUX 9 DE CATTENOM

communiqué de presse du 29 octobre 2019
____________________________________________________________________



Le 30 octobre, huit militant·es et un porte-parole de Greenpeace France seront jugé·e·s en appel à Metz. En première instance, deux d’entre eux ont été condamnés à de la prison ferme, les autres à cinq mois avec sursis. Leur crime ? Avoir dénoncé le risque nucléaire en allumant un feu d'artifice dans la centrale nucléaire de Cattenom, en Moselle. 


communiqué de presse ADN du 29 octobre 2019


Le collectif Arrêt du nucléaire apporte tout son soutien aux militants de Greenpeace, lourdement condamnés en première instance pour s’être introduits sur le site de la centrale nucléaire de Cattenom. Pour ce procès en appel, nous demandons la relaxe !

Ce ne sont ni des criminels ni des terroristes. Leur action symbolique et salutaire n’avait qu’un objectif : alerter sur les bombes à retardement que constituent les piscines d’entreposage des combustibles usés.

En France, elles contiennent l’équivalent de 200 cœurs de réacteurs nucléaires, dont 150 concentrés sur le seul site de La Hague. Non seulement ces combustibles usés sont encore plus dangereux que les combustibles neufs, mais – et ce que confirment de nombreux experts - les piscines censées les confiner sont extrêmement fragiles, donc vulnérables vis-à-vis des tempêtes, séismes, chutes d’avion etc. à quoi il faut ajouter le risque terroriste.

Les militants de Greenpeace ont donc légitimement exercé leur responsabilité de lanceurs d’alerte.

Nous dénonçons des pouvoirs publics qui s’acharnent, par une politique de harcèlement systématique, contre les militants antinucléaires. Ce sont les mêmes qui font peser sur les populations la menace permanente d'une catastrophe nucléaire.

Relaxe complète et définitive des 9 de Cattenom !

 

Le collectif Arrêt du nucléaire