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Agenda antinucléaire 2025

Les 11, 12 et 13 avril à Erdeven (infos)
Le 25 avril à Douarnenez avec Nicolas Gallon (infos)
Rassemblement le 26 avril au Mans (infos)
Carrefour des Résistances le 26 avril à Montech (infos)
Défendons notre terre le 24 mai à Loyettes (infos ici)
Le 13 juin à Paris, ciné-débat "Silent Fallout"  (infos)
Congrès RSDN les 27 et 28 juin à Paris (infos ici)
Journées d'études ADN les 4-6 juillet (infos)                 
Haro sur La Hague du 18 au 20 juillet (infos)
Rencontres anti-extractivisme dans l'Allier du 25 au 27 juillet
Les Résistantes du 7 au 10 août en Normandie (infos)
Hiroshima et Nagasaki du 5 au 9 août (infos)
Festival Poussières à Goshen du 21 au 24 août (infos ici)
Rando à Plogoff, le 24 août (infos ici)
Aux UEMS à Bordeaux du 23 au 26 août (infos ici)
Manif' du Futur le 20 septembre à Bure (infos)   
      


Yu Yan Hou « Nuclear energy »

50e anniversaire de
la Main Verte d’Erdeven

les 11-12-13 avril à Etel et Erdeven

1974 : les habitants de la région apprennent dans la presse le projet d’une centrale nucléaire à Erdeven. Aussitôt, une poignée de personnes créent le CRIN (Comité Régional d’Informations Nucléaires) pour informer les habitants. Des réunions publiques sont tenues dans toutes les communes littorales entre Lorient et Vannes. La population, consciente des dangers du nucléaire, devenue experte de la Vie, experte scientifique et experte politique, se mobilise contre ce projet contraire à ses intérêts et à celui des générations futures.

Le 30 mars 1975, 15 000 manifestants marchent vers Erdeven. Le projet de l’État est finalement mis en échec, et l’environnement exceptionnel de la région est préservé.

Pour symboliser cette victoire et marquer les mémoires, une main verte est érigée aux abords immédiats du massif dunaire d’Erdeven. Elle signifie « Vous ne passerez pas » et « Au secours ». La Main verte restera le symbole d’une lutte dont le message est : « Non au nucléaire, ni ici, ni ailleurs ».

Plus d'informations

 

Rencontre avec Nicolas Gallon
soirée-débat autour du livre « Territoires dénaturés. La France du nucléaire »

le 25 avril 20h à Douarnenez (Finistère)

Vendredi 25 à 20h : Soirée débat à l’auditorium de Douarnenez avec Nicolas Gallon, auteur du livre « Territoires dénaturés, La France du nucléaire »
(Le Seuil, 2024), en présence des associations
« Plogoff mémoire d’une lutte » et « Sortir du nucléaire Cornouailles ».

Vendredi 25 à 17h-19h et samedi 26 à 11h-13h : signature à la librairie Les Métamorphoses à Douarnenez. Ici un focus photo par SDN 72.

Télécharger le tract / programme

Journal Atomicmac n° 9 / n° 8 / n° 7


 

Tchernobyl, 39e r-d-v !
samedi 26 avril 2025 au Mans

14h-16h30 : Rassemblement pl. de la République
Pour sa permanence, contre l’oubli, SDN 72 vous invite à un rassemblement de rappel du dramatique accident nucléaire de Tchernobyl — son 39e « anniversaire » (jour pour jour). Nous y discuterons de l’actualité de Tchernobyl bien sûr, mais aussi de l’actualité nucléaire, de ses dangers et pour sortir de l’éco-anxiété des alternatives possibles.

17h : Conférence avec Yves Lenoir d'ETB, ouverte à toutes et tous, à librairie Thuard au Mans. Il y traitera de l’état sanitaire des populations du Belarus et notamment des enfants. Il fera le lien avec le programme de relance nucléaire en France. Un temps d’échange avec les participant·e·s sera préservé. Une exposition de dessins d'enfants du Belarus est présentée tout avril à la librairie.

Plus d'infos

Carrefour des Résistances et Alternatives

le 26 avril 2025 à Montech (Tarn & Garonne)

La coordination Stop Golfech a l'honneur d'inviter toutes les associations et collectifs en lutte contre les projets écocidaires au Carrefour des Résistances et Alternatives qui se tiendra le 26 avril à Montech (82).

Un moment de prises de paroles formelles sera dédié aux groupes de résistances et alternatives. La journée se terminera par une soirée. Si, si ! Sauf en cas d'explosion de la centrale. S'il-vous-plaît, en cas de sabotage, prévoyez un autre jour. Une soirée conviviale, avec Ninon au violon et son groupe Sem d'Aici. Ninon met le feu ! Attention pour ceux qui ne connaissent pas, nous parlons-là d'un Bal Trad !

Télécharger le tract / programme

Tract Stop EPR Pétition aux Élus

 


Journal Stop Golfech n° 90

Nucléaire et cinéma

Cycle nucléaire & cinéma par la Coordination anti-nucléaire IDF

Comme tous les deuxièmes vendredis du mois, la Coordination anti-nucléaire d’Ile de France vous invite à une projection précédée d’un buffet et suivie d’un débat.


 

« Silent Fallout » (Retombées silencieuses)
2023, 73 min., VO sous-titrée en français. Plus d'infos

vendredi 13 juin, 18h30 à Paris 3°
Bourse du Travail, 29 Boulevard du Temple

Depuis 20 ans, le cinéaste japonais Hideaki Ito enquête sur les conséquences des essais nucléaires américains effectués depuis 1946 dans l’océan Pacifique et le désert du Nevada. Nous parlerons ce soir des essais nucléaires, des retombées radioactives et de leurs conséquences en termes de santé. Une exposition de dessins sera présentée. Cette soirée s’inscrit dans les commémorations du 80ᵉ anniversaire des bombardements d’Hiroshima et Nagasaki.

Pour des groupes qui souhaitent organiser la projection,
contact : SilentFallout_projection_eu@protonmail.com

 
# JOURNÉES D'ÉTUDES ADN 2025 MENU

12° JOURNÉES D'ÉTUDES
d'Arrêt du nucléaire 2025

les 4, 5 et 6 juilet à Fromental (87)
(entre La Souterraine et Bessines)

Vendredi 4 juillet Accueil à partir de 17h - Repas partagé à 19h
soir à 20h30 EPR, SMR, consommation du numérique
(avec Stéphane Lhomme).

Samedi 5 juillet
matin 9/12h Liens entre nucléaires civil et militaire
(avec la participation de Patrice Bouveret). repas à 12h30
après-midi 14/17h Quelle logique économique du nucléaire ? (avec la participation de Sylvie Diallo)
. Soirée conviviale

Dimanche 6 juillet
matin 9/12h Les autres logiques du nucléaire :
bureaucratie,
corruption, imaginaires... (avec la participation
de Jean-Luc Pasquinet, Damien Renault, Anne-Marie Bonnisseau et Bernard Elman). Repas à 12h30

Télécharger le programme

Inscriptions : <contre-lordre-atomique@riseup.net>

Télécharger l'affiche

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Les Journées d'études du collectif « Arrêt du nucléaire » à Fromental, le 5 juillet 2025

On peut faire bouger les lignes sur la question des armes nucléaires par Patrice BOUVERET, Journées d’études ADN, Fromental, le 6 juillet 2025

L’arrêt des essais nucléaires n’a été obtenu que par la mobilisation citoyenne. Quand la société civile s’empare du sujet, on peut obtenir de faire bouger les lignes à nos États. C’est bien ça qui doit nous importer pour arriver un jour à éliminer ces armes.

Lire ce texte et voir notre Dossier sur le TIAN

 

Nucléaire : retour en grâce ou début de la fin ?

par Stéphane LHOMME, Observatoire du nucléaire - printemps 2025

Il faut se mettre à la place d'une personne ordinaire qui n'a pas le temps, en rentrant du boulot, d'étudier en détail la situation de tel ou tel dossier, mettons à tout hasard… celle du nucléaire. Cette personne prend quelques instants pour consulter l'actualité, et elle se trouve confrontée à diverses annonces... parfaitement contradictoires.

Par exemple : « La Belgique renonce à la sortie du nucléaire », « Grande victoire des antinucléaires en Australie », « Black-out électrique en Espagne : c'est la faute des renouvelables », « Espagne : les renouvelables couvrent par moment 100 % de besoins électriques », « Chine : le solaire et l’éolien dépassent désormais le charbon », « La Chine a mis en service le premier réacteur à sels fondus de thorium », etc.

 

Autant le dire, il y en a pour tout le monde : les adorateurs de l'atome croient trouver la preuve que leurs chères centrales vont bientôt pousser sur Terre comme des champignons, les autres constatent que le développement des renouvelables est un Tsunami qui submerge l'atome…

Par ailleurs, le Web est inondé de pseudos articles (rédigés par Intelligence artificielle) qui ne se contentent plus de tourner l'actualité dans tel ou tel sens, mais qui inventent carrément n'importe quoi. Ainsi, on découvre chaque matin de prétendues « avancées décisives » dans la maîtrise de telle ou telle technologie nucléaire « révolutionnaire » réalisées par les Chinois, ou les Américains, ou les Martiens, peu importe. Heureusement, chacune et chacun peut se raccrocher à une certitude absolue : le réacteur EPR de Flamanville est bien la plus grosse blague du siècle. Ce machin a été achevé en 2024 avec 12 ans de retard et pour la modique somme de 23 milliards au lieu des 3 prévus au départ.

Or, un an après qu'il ait reçu son autorisation de mise en service, le 7 mai 2024, il ne fonctionne toujours pas. Oui, déjà un an. Mais EDF en est sûr, c'est pour « bientôt »...

Lire la suite sur le Blog de Stéphane Lhomme sur Médiapart

Haro sur La Hague

les 18,19, 20 juillet 2025 !

EDF a pour projet de construire de nouvelles piscines de stockage de déchets nucléaires sur le site Orano à la Hague. 13 000 tonnes de déchets nucléaires en plus. Sachant que la Hague a déjà la concentration de substances radioactives la plus élevée au monde. Sachant que plus de 10 000 tonnes de combustibles usés, soient l'équivalent de 110 réacteurs, y sont stockés. Sachant que 80 tonnes de plutonium et 337 tonnes de rebuts de Mox sont également stockés...

Nous voulons crier ça suffit ! La Hague n'est pas une poubelle !

Trois jours de rencontres, discussions, actions, sur la question des déchets nucléaires et des territoires. Trois jours pour se réunir, partager nos peurs, nos colères, nos joies. Trois jours avec le collectif « Piscine nucléaire stop » pour donner aux luttes le goût de la solidarité et du collectif.

Plus d'infos

« Des militants font échouer l’achat de terres par Orano », par Guy PICHARD, Reporterre, le 14 avril 205

Lire aussi : « Les déchets radioactifs de la première usine de La Hague », par Bernard LAPONCHE,
Jean-Claude ZERBIB, Jean-Luc THIERRY et Laure BARTHÉLEMY, Global Chance, le 9 septembre 2024

« On a donné pour la France… maintenant ça suffit » : des habitants de La Hague rejettent le projet des piscines nucléaires d’Orano, par Marie du Mesnil-Adelée, FR3 Normandie, le 31 août 2025 

Du pain et des parpaings

Cycle d'émissions sur les luttes antinucléaires sur Radio Pikez.

Les émissions sont ici : https://hearthis.at/radiopikez/set/du-pain-et-des-parpaings/

# 24 : Rencontres à Quimper, à La Hague et à Brest.
# 25 : Émission en public au Café de l’Ancre à Loperhet avec Chantal Cuisnier du CAN Ouest et de Sortir du Nucléaire Cornouailles : le 39e anniversaire de l’accident de Tchernobyl, les reportages à Bure et Erdeven mettant en lien les luttes passées, actuelles et futures.

Le nouveau mégaprojet nucléaire d’Orano inquiète

par Guy Pichard, Basta!, le 22 mai 2025

Annoncé par le groupe nucléaire comme « le plus grand projet industriel du monde », le programme « Aval du futur » d’Orano prévoit de nouvelles installations nucléaires colossales en Normandie. Sur place, il suscite méfiance et défiance.

Lire cet article

Cinquante ans de nucléaire dans le Cotentin

par Guy PICHARD, avec Simon GOUIN et Marylène CARRE, Grand Format, le 5 novembre 2024

Considéré comme la zone la plus nucléarisée au monde, le Cotentin héberge aussi des contestataires qui tentent de faire reculer, ou au moins ralentir, ce rouleau-compresseur national qu’est l’industrie de l’atome. Retour sur ces dizaines d’années de lutte avec la frise, non-exhaustive, et quelques explications.

50 ans d’opposition au nucléaire déposés sur un paillasson d’un habitant d’un petit village du Cotentin. Des coupures de presse, datant parfois de plusieurs dizaines d’années, qui retracent une partie de l’histoire du nucléaire dans la région. « La personne qui les a remises les tenait de sa mère qui a collecté et conservé depuis plusieurs décennies dans les journaux locaux les événements en lien avec l’usine (de la Hague, NDLR) », explique à Grand-Format la membre du collectif Piscine Nucléaire Stop qui a recueilli ces documents. « C’est une famille importante dans la commune, qui n’est pas forcément favorable à l’industrie nucléaire mais pas affichée anti. Difficile dans ce pays colonisé de s’afficher comme adversaire. »

Lire cet article

 

Rencontres de luttes locales et globales

2° édition des Résistantes, du 7 au 10 août 2025 en Basse Normandie

Une nouvelle édition autour des luttes locales, avec une attention à ce que de nombreuses thématiques liées soient traitées et mises en avant : luttes sociales, paysannes, syndicales, écologistes, pour nos droits, luttes féministes et queer, luttes antiracistes... Nous souhaitons favoriser les alliances entre luttes variées autour de thématiques de terrain communes !

Plus d'infos

 

« 4 jours pour penser l’avenir des luttes écologistes », Reporterre, le 7 août 2025

La Manif' du Futur

le 20 septembre à Bure

À Bure, ce n’est pas demain mais aujourd’hui que ça se passe ! 

Nous invitons celles et ceux qui viendront demain, qui étaient là hier et qui le peuvent aujourd’hui à manifester toutes ensemble à Bure le 20 septembre, contre Cigéo, contre le nucléaire, pour un autre avenir ! 

Reprenons l’imaginaire à l’Andra, l’avenir au nucléaire, et laissons leur la projection d’un triste lendemain, indésirable pour les Générations futures, tandis que notre imagination et notre créativité convoqueront la manifestation antinucléaire du futur !

Plus d'infos

 

« Une manif à Bure, la chance que vous avez ! »

 

par Jade LINGAARD, Médiapart, le 20 septembre 2025

Un millier de personnes au moins ont manifesté le 20 septembre contre le projet d’enfouissement de déchets nucléaires Cigéo dans la Meuse. Malgré les années de militantisme menées en vain jusqu’ici, les opposants espèrent que le démarrage imminent des travaux préalables relancera la lutte.

Lire cet article

« C’est le moment de résister ! », par Amanda Jacquel, Reporterre, le 22 septembre 2025

 
« Bure : reportage au cœur de la manif réprimée par les blindés »,
Le Média, le 23 septembre 2025

Pour stocker les déchets, un funiculaire très politique


Le 1er juillet 1999, vingt personnes avaient trouvé
la mort dans la chute d'un téléphérique POMA sur le plateau de Bure (Hautes-Alpes)
. Coïncidence, c'est cette même société, spécialiste des Funiculaires, qui doit construire la descenderie à Bure (Meuse) pour les Fûts Nucléaires.

 

par Jade LINGAARD,
Médiapart
, le 19 septembre 2025

Dans le futur centre d’enfouissement, près de Bure, les colis seront descendus par un funiculaire souterrain de 5 kilomètres de long. Un trajet hors norme profilé pour satisfaire les demandes des élus locaux. Au prix de son impact environnemental, s’inquiètent des experts.

Lire cet article
Voir notre dossier sur Bure

 
# HISTOIRES DE LUTTES MENU

Histoires de luttes antinucléaires

Toise « Le nucléaire et ses luttes - quelques jalons historiques »

par Marie-Christine GAMBERINI, parue dans Atomes crochus n°5
(cliquez sur l'image cidessus - ou ici pour la visualiser)

Lire aussi d'Henry Chevallier : « Histoires des luttes antinucléaires en France (1958-2008) »

« Nucléaire, un regard sociohistorique » par Sezin TOPÇU

 
Sezin Topçu : le nucléaire, un regard sociohistorique
Les lundis de l'INA, le 17 octobre 2022, petit auditorium de la Bnf

Sezin Topçu est historienne et sociologue des techniques, chargée de recherche au CNRS. Membre du Centre d’étude des mouvements sociaux (Ehess), elle est l’autrice de l’ouvrage « La France nucléaire. L’art de gouverner une technologie contestée », Seuil, 2013.

Les Soulèvements de l’industrie verte
par Tomjo, Chez Renart, le 28 mars 2025

Sincèrement, depuis L’Enfer vert en 2013, on n’a jamais vu autant d’écolos soutenir l’industrie lourde, de collectifs, syndicats, partis, et mouvements plus ou moins gazeux financer ou réclamer qu’on finance jusqu’aux plus gros pollueurs du monde, sous prétexte d’« écologie ». On a raconté comment « Écolos » et « Insoumis » soutenaient la transition vers l’automobile électrique jusqu’à financer Rio Tinto et soutenir Imerys pour leur lithium. Voilà que ArcelorMital, Vencorex et même Total deviennent dignes d’être défendus sous les mêmes prétextes. Ce que l’Ukraine ne parvient pas à réaliser, l’« écologie » y arrive triomphalement : former l’union sacrée autour des industriels.

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La trahison anti-nucléaire de Dominique Voynet en 1999

par Bure Bure Bure, le 30 mars 2025

La récente nomination de Dominique Voynet au sein du Haut comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire (HCTISN) a fait polémique. Surnommée « la fossoyeuse du nucléaire » après l’arrêt de Superphénix en 1998 qu’elle facilita, elle est fustigiée d’être à la fois « provocatrice », « nuisible », « traîtresse, menteuse et incompétente » par... des députés LR/RN ! Ils en oublieraient presque que Dominique Voynet a retourné sa « veste » depuis plus de 25 ans, en signant, en tant que ministre verte, pour l’enfouissement des déchets nucléaires à Bure – alors qu’elle s’y était opposée quelques années avant !

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# ANTINUCLÉAIRE FÉMINISTE MENU

HISTOIRES DE LUTTES

Antinucléaire féministe

HISTOIRES DE LUTTES

Antinucléaire féministe

Remember Fessenheim

Vingt ans après la mort de Françoise d'Eaubonne à l’été 2005, David Dufresne (auteur de la postface de Nos Amis les experts) enquête à sa façon sur son impossible grand-mère. Dans son livre qui emprunte son titre à une réplique 'un film de Clint Eastwood (Grasset, 2025), il nous offre le portrait d’une activiste radicale, drôle, en lutte partout, dans les rues et avec sa machine à écrire.

Françoise d’Eaubonne fut de tous les grands combats d’après- guerre : contre la guerre en Algérie ; sur les barricades de 68 ; pour l’égalité et le droit à l’avortement ; militante du MLF et fondatrice du Front homosexuel d’action révolutionnaire. Éco-anxieuse avant tout le monde, elle forgea le concept d’écoféminisme : « un nouvel humanisme né avec la fin irréversible de la société mâle ». Avec un ami, elle pose une bombe sur le chantier de la centrale nucléaire de Fessenheim, événement historique jamais résolu. La liberté chevillée au corps, elle apparaît ici comme la plus libre des femmes libres.

En savoir plus

« Françoise d'Eaubonne, sa sorcière bien-aimée »,
avec David Dufresne, France culture, le 20 septembre 2025

Pour la première fois, le journaliste David Dufresne évoque publiquement sa grand-mère, l'écoféministe Françoise d'Eaubonne. À l'issue d'une minutieuse enquête, il dresse le portrait de cette femme hors-norme au prisme d'un évènement clé : l'attentat du 3 mai 1975 contre la centrale de Fessenheim.

 

« Françoise d’Eaubonne, pionnière de l’écoféminisme et adepte du sabotage », Reporterre, oct. 2019

Dans le cadre de son exposition « L’Âge atomique - les artistes à l’épreuve de l’histoire », le Musée d'Art moderne de Paris a proposé quatre rencontre-discussions entre chercheuses, anthropologues, artistes, historienne des sciences, en leur proposant d’évoquer ensemble l’ère nucléaire dans le domaine des arts, des sciences et de la politique du début du XXème siècle à nos jours.

première rencontre du cycle :
Écoféminismes antinucléaires

le 7 novembre 2024, avec Élodie Royer
et Kyveli Mavrokordopoulou

À l'intersection des mouvements féministes, écologiques et pacifistes, l'écoféminisme apparait simultanément en Europe, aux États-Unis, en Australie et dans différentes nations du Pacifique, dans la seconde moitié des années 1970. Dès le début, ces collectivités et penseuses féministes s’engagent contre les technologies nucléaires en ne faisant plus la différence entre le domaine civil – le réacteur – et le domaine militaire – la bombe.

Ces collectifs entretiennent souvent des liens transnationaux entre eux et sont parmi les premiers à allier la pensée anticoloniale à la lutte antinucléaire. Ils révèlent que la domination patriarcale est exercée à la fois sur les femmes et sur la nature.

 
Women’s Pentagon Action, novembre 1980
© Diana Mara Henry


De nouvelles formes de militantisme s’inventent, à la lisière de l’art et de l’activisme, privilégiant des formats flexibles et transportables, allant de l’émission de radio à la performance, à des tournées antinucléaires mais aussi à l’occupation de camps militaires accompagnée par des actions festives.

À l’aune de la triple catastrophe de Fukushima, plusieurs pratiques artistiques ancrées dans des lieux marqués par des bouleversements environnementaux au Japon seront aussi convoquées dans une perspective écoféministe. Par cette mise en regard d'œuvres et de luttes, il s’agira de tisser des liens esthétiques et biographiques entre des pratiques, des corps et des territoires. 


Une présentation plus complète des trois autres conférences se trouve sur le site du MAM :

- La Hague, paysage nucléaire avec Agnès Villette et Laura Molton, le 12 décembre 2024
- L’histoire de la représentation de l'atome avec Charlotte Bigg et Gabrielle Decamous, 16 jan. 2025
- Fukushima Reprises. Lecture-performance de Sophie Houdart et Mélanie Pavy, le 6 février 2025


Sorcières, vénères... et antinucléaires !


Les « Bombes atomiques » à Bure - photo © Roxanne Gauthier/Reporterre

 

Longtemps occultée, une tradition de lutte féministe contre le nucléaire ressurgit peu à peu. À Bure, le collectif des Bombes Atomiques organisait du 20 au 22 septembre 2019 un weekend antinucléaire sans homme cisgenre. Une participante exhume aujourd'hui son journal de bord de l'époque. L’objectif féminisme anti-nucléaire est de montrer que les systèmes de domination – patriarcat et capitalisme, principalement – sont imbriqués et ne peuvent être détruits qu’ensemble. « Le nucléaire est un monstre du patriarcat » aurait pu dire l’un·e de nous. 

Lire ce texte

Des femmes contre des Missiles

Rêves, idées et actions à Greenham Common

par Alice COOK & Gwyn KIRK,
Éditions Cambourakis, 2016

En 1981, sur fond de Guerre froide, des femmes organisent, autour de la base militaire de Greenham Common en Angleterre, un camp pacifiste pour protester contre la décision de l’OTAN de stocker des missiles nucléaires sur ce site. Par une série d’actions non-violentes directes à Greenham Common et à travers l’Angleterre tout entière, des femmes ont ainsi exprimé leur opposition à la guerre, au militarisme, à la violence, prenant le parti de la justice, de la paix, de la créativité, des échanges et de la joie.

 


 

Retour à La Hague

par Xavière GAUTHIER, Sophie HOUDART
& Isabelle CAMBOURAKIS, Cambourakis, 2022

À l’heure où la France, ses dirigeants, ses lobbys nucléaires sont en pleine opération de réhabilitation de l’atome et projettent de couvrir le territoire de nouvelles centrales comme ce fut le cas dans les années 1970, la réédition de « La Hague, ma terre violentée » montre qu’il était possible au tournant des années 1980 d’articuler discours féministe et antinucléaire. Un avant-propos en forme de correspondance à trois voix propose une réflexion sur ce que signifie vivre en territoire nucléarisé, tisse des liens entre La Hague et le Japon et débat de l’invisibilité de la question nucléaire.

Article sur le livre et entretien, Maze, mai 2022

Voir à ce propos : « Regards croisés sur les luttes féministes antinucléaires des années 1970 »
de Coline GUÉRIN et Lisa PARIS, Terrestres, le 1° décembre 2022

Et écouter : « Retour à La Hague », une expérience de Bastien LAMBERT, France Culture, octobre 2022

Pour aller plus loin :

« If you love this planet. Des femmes contre le nucléaire », Panthère Première n° 5, printemps-été 2020
« L’énergie nucléaire dans le discours féministe », par Dorothy NELKIN, Sociologie et sociétés, 1981


 
# LES GÉMONIES DU MAL MENU

Pourquoi les peuples
laissent-ils s’accomplir le crime nucléaire
contre les prochaines générations ?

par Nicole ROELENS, FSM antinucléaire, Paris, le 3 novembre 2017

Une dimension encore peu appréhendée du crime nucléaire : son impact sanitaire est d’autant plus violent que l’on remonte le cours de la vie vers son origine.

Le nucléaire est d’abord une technique de destruction massive, l’atout majeur de la thanatocratie c’est-à-dire l’attribution du pouvoir à ceux qui détiennent la plus grande capacité d’extermination.


Le missile nucléaire russe RS-28 Sarmat, dit « Satan »
 

L’impuissance des femmes qui donnent la vie face à la destruction technologique de la descendance s’accompagne d’une inertie de la très grande majorité des hommes devant la prolifération d’un technomonde hostile au vivant. Ce technomonde les fascine parce qu’il est synonyme de toute puissance et que les hommes n’ont majoritairement pas renoncé aux illusions de toute-puissance. Il est temps de dire que l’inertie face au processus d’autodestruction de l’humanité tient à la complicité de la société sexiste avec la guerre larvée contre les femmes et les humains de demain.

Cette guerre est menée en toute inconscience par les mâles les plus hégémoniques. Elle est impensée, mais elle est attestée par l’indifférence collective à l’égard des intérêts intergénérationnels, par la dégradation contemporaine du processus d’engendrement, par la destruction systématique des conditions de survie de nos descendants.

L’agressivité des humains envers leurs successeurs est proportionnelle à leur insondable désarroi devant leur condition d’êtres vivants mortels interdépendants et sexués. Cela explique un grand nombre de maltraitances envers les enfants mais cela va bien au-delà car il est question de la sauvegarde des illusions égocentriques individuelles et collectives.

Cette sauvegarde exige la disqualification des femelles, symboliquement contaminées par leur participation charnelle au remplacement des générations. Elle leur impose trois exigences : premièrement l’effacement de leur existence sociale, deuxièmement qu’elles assument seules et en silence le plus gros du travail pour mener la nouvelle génération à l’âge adulte et troisièmement qu’elles laissent la direction du monde aux mâles. Ces exigences sont enracinées dans l’inconscient civilisationnel sexiste, inséparable de la colonisation de l’humanité femelle.

Lire ce texteTélécharger ce texte

Écouter Nicole Roelens à propos de ce texte,
Radio Galère
, la 1/2h radioactive, le 14 novembre 2017

 

Mémorial pour la Paix à Hiroshima : statue offerte en 1959 par le sulpteur Hongô Shin
au Maire d'Hiroshima, M. Hamai, à l'occasion du 5° congrès mondial pour l'abolition des armes nucléaires,
inaugurée en 1960 grâce au soutien de l'association des femmes de Hiroshima

 

 

COMMÉMORATIONS

 
# 14 ANS DE FUKUSHIMA MENU

14 ANS DE LA CATASTROPHE DE FUKUSHIMA

Commémoration des
14 ans de Fukushima

Dimanche 9 mars 15h / 17h
Place de la République à Paris

Le 11 mars 2011, un séisme, puis un tsunami étaient à l’origine d’une des plus grandes catastrophes nucléaires de l’histoire, entraînant la fusion de 3 des 6 réacteurs nucléaires de la centrale de Fukushima Daiichi au Japon.

Mobilisons-nous contre la relance aberrante et dangereuse du nucléaire, en soutien aux victimes de l'accident de Fukushima !

Télécharger le tract

Message de Ruiko MUTÔ, habitante de Fukushima, mars 2025 - à lire ici
Message d'Akiko MORIMATSU, représentante des plaignants, mars 2025 - à lire ici

14 ANS DE LA CATASTROPHE DE FUKUSHIMA

FUKUSHIMA
Commémoration de la tragédie

Paris, Place de la République, le 9 mars 2025

Message de solidarité de l'association Enfants de Tchernobyl Belarus

par Yves LENOIR, président d'ETB

Le 9 mars, lors du rassemblement Place de la République (Paris) commémorant le 14e anniversaire de la tragédie de Fukushima, à l'invitation de l'association Japonaise Yosomono, le président de l'Association « Enfants de Tchernobyl Belarus » a lu ce message de solidarité avec l'accord des organisatrices du rassemblement :

(...) Au petit matin du 11 mars 2011 je branchais la radio pour apprendre la terrible nouvelle. Sachant ce que représentait la pollution radioactive de terres agricoles, comme il y en a tant de durablement contaminées au Belarus, je n'ai pu retenir mes larmes. J'ai saisi quel malheur et quelles douleurs allaient endurer une grande partie de habitants de la région. Il ne s'agit pas de statistique, mais d'épreuves vécues individuelles.

Sachez qu'au Belarus, aujourd'hui comme hier, la menace radioactive y atteint parfois des niveaux hallucinants : dans les cinq dernières années BELRAD a trouvé des contaminations de 50 000 à 350 000 Bq/kg dans des échantillons de champignons séchés provenant des forêts du pays, soit de 20 à 140 fois la limite pour la commercialisation de ce produit. Si ces champignons n'avaient pas été contrôlés, ils auraient été cuisinés dans la soupe que les paysans et leurs enfants consomment chaque soir d'hiver dans ce pays. (...)

Lire ce texte Voir le dossier de la CRIIRAD sur Fukushima

14 ANS DE LA CATASTROPHE DE FUKUSHIMA

Fukushima : l'acquittement des ex-responsables
de la centrale nucléaire indigne la population japonaise

par la correspondante locale à Tokyo de RFI, le 10 mars 2025


La manifestation du 19 septembre 2011 réunit 60 000 personnes à Tokyo
 

La Cour suprême vient d'acquitter définitivement les anciens dirigeants de l'opérateur de la centrale nucléaire de Fukushima, le groupe Tepco, qui, depuis dix ans, étaient poursuivis au pénal pour « défaut de prévoyance ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Cet arrêt historique sidère les réseaux sociaux, agite les talk-shows télévisés et déconcerte les éditorialistes, de nombreux quotidiens contestant son bien-fondé.

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SUR FUKUSHIMA

 

Totoro sous la pluie


 

 

Carte d'observation des séïsmes

L'outil cartographique USGS permet d'observer en temps réel les tremblements de terre qui adviennent dans le monde et de surveiller les activités sismiques. On pouvait voir le 2 avril sur cette carte qu'un séïsme de magnitude 6.2 s'était produit à 14h, à 150 km de la centrale nucléaire de Sendai au Japon.

Nice Matin publiait le 31 mars une info au titre anxiogène « Une faille de 800 km : un mégaséisme pourrait faire jusqu'à 298 000 morts au Japon », relatant une affirmation du gouvernement nippon dans une nouvelle estimation des risques.

Lire aussi : « Japon : l’activité sismique de Kyushu suscite des inquiétudes
sur les centrales nucléaires »
Le Monde, 17 avril 2016 - à propos du séïsme du 14 avril 2016.

 
# IMAGES RETROUVÉES MENU

39 ANS DE LA CATASTROPHE DE TCHERNOBYL

Tchernobyl : les bobines perdues

Documentaire de James Jones, Royaume Uni, 2022

Réalisé par James Jones, lauréat d'un Emmy Award, « The Lost tapes » est un film captivant qui raconte l'histoire de la catastrophe et de ses conséquences à travers des images d'archives immersives, récemment découvertes, et des interviews réalisées auprès de ceux qui étaient sur place. Des images tournées à grands risques par une poignée de cameramen ayant accès à l’usine et cohabitant avec les « liquidateurs », ceux chargés d’empêcher une nouvelle explosion et de sécuriser le réacteur.

Voir aussi d'autres extraits présentés pour la diffusion du Film sur Histoire TV, le 26 avril 2023.

Ce film a été sélectionné par the International Uranium Film Festival de Rio de Janeiro, Brésil.

 


Autre documentaire :
« Chaos à Tchernobyl : scénario de la pire catastrophe nucléaire »
Un documentaire de Fanny Germain, le 17 Avril à 21h10 sur RMC Découverte - voir le teaser

 

 
# OMS : DE L'INDIFFÉRENCE AU DÉNI MENU

De l'indifférence au déni :
L'OMS et les dégâts des radiations
(1946-2006)

Jusqu’au 5 septembre 2005, date de la publication du communiqué de l’AIEA, « Tchernobyl : l’ampleur réelle de l’accident 20 ans après, un rapport d’institutions des Nations Unies donne des réponses définitives et propose des moyens de reconstruire des vies », quiconque cherchait à cerner les conséquences de l’accident de Tchernobyl se trouvait confronté à une dualité d’informations contradictoires. (...)

50 morts et 4000 cancers « à venir ». Le vingtième anniversaire du triste événement approchant, un moment propice pour communiquer, un collège d’experts – nom de code Chernobyl Forum – avait reçu le 5 février 2003 la mission de rédiger un rapport en vue de clore toutes les controverses et débats entre experts et contre-experts. Le rapport, celui annoncé par le communiqué de l’AIEA – le Chernobyl Forum Report (CFR), établirait le bilan définitif (sic) de la catastrophe. Depuis, la seule réponse « autorisée » aux questions posées par les séquelles de l’accident, et reprise ad nauseam urbi et orbi, est condensée dans les toutes premières sentences des 13 pages de ce texte. (...)


 Extrait du Livret - à commander ici : http://lesproduitsdujardin.fr/livrets/Lenoir-OMS
ou auprès de : https://enfants-tchernobyl-belarus.org/

 
# UNE POMME POUR BELRAD MENU
39 ANS DE LA CATASTROPHE DE TCHERNOBYL

CAMPAGNE « Une Pomme pour Belrad »

par Enfants de Tchernobyl Belarus

L'association Enfants de Tchernobyl Belarus (ETB) propose aux associations,
biocoops, groupes antinucléaires et particuliers, une action simple à réaliser.

 

La campagne consiste à vendre des pommes pour soutenir et contribuer au financement de l’Institut BELRAD, seul organisme indépendant de radioprotection du Belarus, le pays le plus impacté par la catastrophe de Tchernobyl.

Depuis sa fondation par Vassily Nesterenko en 1990, l'Institut Belrad agit quotidennement pour informer, protéger et soigner les victimes du plus grave accident de l'histoire du nucléaire civil. Son expertise et les résultats qu'il a collectés sont uniques pour comprendre et mesurer les conséquences d'un accident qui n'a pour l'heure pas d'équivalent, mais dont on ne peut ignorer la probabilité.

Cette campagne permet également d'ouvrir un espace public de discussion et d'information dans un moment ou la question du nucléaire semble lançée dans une course en avant sourde et aveugle.

Le fonctionnement est simple et demande peu de moyens :

  • des pommes présentées dans une corbeille ;
  • une carte-présentoir en couleur – format A4 pliée en 2
    – pour servir d'appel pour la campagne ;
  • des tracts d’informations pour donner avec chaque pomme achetée ;
  • une petite boîte pour recueillir le fruit des ventes.

    Plus d'informations


La campagne est relayée par le réseau « Sortir du nucléaire ».

Télécharger le dernier Bulletin d'Enfants de Tchernobyl Belarus (février-mars 2025)

 


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SUR TCHERNOBYL

 

Emmanuel LEPAGE
Un Printemps à Tchernobyl,
Futuropolis, 2012

 
# 80 ANS D'HIROSHIMA ET NAGASAKI MENU

80 ANS DES BOMBARDEMENTS ATOMIQUES D'HIROSHIMA ET DE NAGASAKI

HIROSHIMA / NAGASAKI

80 ANS DES BOMBARDEMENTS ATOMIQUES D'HIROSHIMA ET DE NAGASAKI

Hiroshima, Nagasaki :
80 ans après, l’oubli n’est pas une option !

Communiqué d'ICAN France, le 4 août 2025

« La France a-t-elle oubié Hiroshima et Nagasaki ? »
Tribune signée par une vingtaine d'organisations d'ICAN, publiée dans Libération, le 5 août 2025

L’idée portée par Emmanuel Macron d’européaniser la dissuasion nucléaire française s’inscrit dans une fuite en avant mortifère qui gagne dangereusement le monde, s’alarment des ONG, au moment où l’on commémore l’horreur des 6 et 9 août 1945.

 

Àvec les 80ᵉ commémorations des bombardements nucléaires d’Hiroshima et de Nagasaki, les 6 et 9 août 1945, ICAN alerte sur les contradictions du discours politique français qui surfe sur la peur et renie ses engagements internationaux, alimentant la course aux arsenaux et l’insécurité nucléaire.

Nous appelons les responsables politiques et parlementaires à sortir de leur aveuglement pour la « sainte Bombe », en s’engageant dans le processus du Traité sur l’interdiction des armes nucléaires (TIAN), en vigueur depuis 2021, pour construire une sécurité fondée sur la coopération, la confiance et la paix durable.

Lire ce communiqué

 


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SUR HIROSHIMA ET NAGASAKI,
ET SUR LA BOMBE ATOMIQUE

 

 

Jean Lurçat
L'Homme d'Hiroshima,
19574,
43 x 2,92 m - Atelier Tabard, Aubusson © Adagp 2016